Reportage en entreprise
Reportage à l'institut capillaire.
Séquence émotion avec ce reportage en entreprise au sein de l’Institut Capillaire Christine Heyraud de Périgueux.
En association avec le Cercle des Affaires de Périgueux l’institut capillaire a offert à une jeune femme de Dordogne une intervention afin de récupérer de la masse capillaire.
C’est une opération qui a un certain coût et qui n’est donc pas forcément accessible à tous les publics.
Le Club d’Entreprises le Cercle des Affaires a donc été mis à contribution pour aider au financement d’une bonne partie de l’intervention.
C’est d’ailleurs un des aspects qui m’a attiré dans ce club, un volet social plus présent que dans les autres.
Le business oui, mais pas que…
J’arrive un peu avance, vers 13h45, juste histoire de poser mes valises, sentir l’ambiance de l’institut, visiter la pièce où se déroulera l’intervention et estimer la meilleure disposition de mes flashs.
La pièce est exiguë et il y a un grand miroir placé devant le siège. Il va être compliqué de faire des photos sans apparaitre dans le miroir, et sans que l’on y aperçoive les lumières des flashs. Autre difficulté, la présence de plusieurs personnes dans ce petit espace, trois, quatre, voir 5 personnes à certains moments, ça ne simplifie pas la mission.
A 14h00 arrive la jeune femme qui va bénéficier de cette intervention. Quelques minutes d’installation et c’est le début du mitraillage… tout en restant discret et le plus invisible possible. Il me faut parler et plaisanter afin de détendre l’ambiance et me faire accepter au point de me faire oublier le plus possible. Au bout d’un moment je n’ai plus du tout l’impression de gêner, mon vrai travail peut commencer.
L’intervention va durer un peu plus d’une heure et c’est plus d’une centaine de photos qui seront prises durant ce laps de temps. Pa de gâchis, la totalité des photos sera remise à Christine. J’ai pu restituer toute la palette d’émotions de l’opératrice et de la cliente, la fébrilité, le stress, la complicité, la délivrance, la joie, la reconnaissance. Et tout cela sans être visible dans le miroir.
